Le faible coût de la production d’énergie nucléaire française est indiqué par le régulateur national de l’énergie (CRE) fixant le prix auquel l’électricité d’EdF est vendue à des distributeurs concurrents.
- En 2014, le taux est de 42 € / MWh,
- mais la CRE a proposé une augmentation à 44 € en 2015,
46 € en 2016
- et 48 € en 2017
pour permettre à EdF de récupérer les coûts de modernisation des installations, qu’elle a fixés à 55 milliards d’euros. En novembre 2014, le gouvernement a gelé le prix de 42 euros à la mi-2015, explique-t-on sur le site www.fournisseur-energie-bordeaux.com.
Ce prix de revente d’Arenh a représenté un prix plancher à long terme pour la puissance d’EdF, et est nominalement basé sur le coût de production. Le groupe industriel Uniden a déclaré que le prix de gros proposé pour 2015 de 44 € / MWh serait supérieur de 14 € à celui de l’Allemagne.
Le rôle de l’US Energy Information Administration
En 2014, l’US Energy Information Administration a placé les ressources de gaz de schiste à 5094 milliards de m3. En raison de la décision de 1974, la France revendique désormais un niveau substantiel d’indépendance énergétique et presque l’électricité la moins chère d’Europe.
Les émissions de dioxyde de carbone par habitant provenant de la production d’électricité sont extrêmement faibles, puisque plus de 90% de son électricité est nucléaire ou hydroélectrique.
Au milieu de l’année 2010, l’Agence internationale de l’énergie a demandé au pays de prendre de plus en plus un rôle stratégique en tant que fournisseur d’énergie de base à faible coût et à faible émission de carbone pour l’ensemble de l’Europe plutôt que de se concentrer sur l’indépendance énergétique qui avait guidé la politique depuis 1973.